Cela me rappelle les statues
nkonde des féticheurs africains (Zaïre - Congo). Elles sont plantées de clous et de morceaux métalliques.
"...On en plantait un chaque fois qu'un engagement suivi d'un serment était conclu : c'était une manière de ratifier l'acte des populations qui ne connaissaient pas l'écriture...Malheur à qui ne tenait pas ses promesses ! Le nkonde , gardien de la mémoire collective infligeait au parjure une maladie subite ou le ferait mourir , mais il protégeait l'innocent ..."
référence : Laure Meyer - "
Afrique noire "- éditionTerrail.
On trouve quelques exemples sur ce lien (faire dérouler la page) :
Rand African Art.