La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque


Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede BDelor » Ven 23 Juil 2010 00:06

J'ai fait un certain nombre d'essais de matériels de protection, et j'avoue ne pas avoir trouvé la solution permettant de pallier à certains problèmes d'utilisation, en particulier l'inconfort résultant du port de plusieurs équipements (filtre respiratoire + protections oculaires).
De plus, j'ai observé un phénomène que je n'ai jusqu'à présent jamais vu évoqué nulle part. Prenons l'exemple le cas d'un travail nécessitant une triple protection respiratoire + oculaire + auditive. Personnellement, je trouve que cela entraîne une réduction significative de l'acuité sensorielle globale (champ de vision réduit, audition limitée, gêne respiratoire) qui me semble elle aussi problématique en terme sécurité : une sorte de "déconnexion" partielle de la réalité, une vigilance réduite, une moindre facilité de mouvement qui peuvent vite devenir problématiques dans l'atelier.

Autre question, certains parmi vous ont-ils l'expérience de l'utilisation de protections de ce type : lien
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Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede cardoso5fr » Ven 23 Juil 2010 09:15

Je ne descends pas dans l'atelier sans mon masque 3M 6200 avec filtre à gaz couplé à filtre P2 ou P3 (je n'en trouve pas toujours des P3). Le casque antibruit et un masque bollet blast (genre masque de ski) étanche.
Je confirme totalement ce que dit Bernard. On finit totalement coupé du monde. Il peut y a voir une fuite de gaz... On ne la sentirait pas. Quelqu'un peut appeler à coté, on va entendre un bruit lointain et risque même d'être surpris et de faire un mouvement idiot lorsque la personne se rapprochera et arrivera par exemple dans le champ de vision (réduit) par le masque qui a pourtant une grande surface.
L'un dans l'autre, je me suis déjà pris une limaille d'acier dans l'oeil, une lime au rouge sur le nez.... (on ne rigole pas...). Cela incite trés fortement à porter les outils de protections adéquates.
C'est comme les gants. Quand on cherche un fort enlèvement de matière sur la bande, c'est trés bien pour protéger les doigts... Par contre, dès que l'on veut travailler finement, je trouve que l'on a plus aucune sensation dans les doigts et qu'il est impossible de travailler correctement.
Le plus dur c'est de trouver le juste milieu pour que l'équipement de sécurité de devienne pas un handicap.

Pour le masque que tu présentes, c'est un peu comme les 3M série 7000, je crois (ou il faut acheter les protections de l'écran en plastique de façon à ne pas "rayer" l'écran définitivement et pouvoir continuer à y voir au travers). Je sais qu'il y a pas mal de gens qui utilisent ce genre de chose. Cela permet d'avoir une bonne visibilité d'aprés ce que j'ai compris tout en étant un peu "à l'aise". Mais je pense qu'à la longue on retombe dans les mêmes travers qu'avec les autres protections : visibilité latérale réduite, bruit atténué.

Un gros élément de sécurité (et que je n'applique pas assez...), c'est un atelier rangé.
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Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede thierry49 » Ven 23 Juil 2010 18:21

Bonjour,
En effet les EPI ont toujours une limite qui est de trop isoler ou rendre la situation dangereuse du fait de l'inconfort...
De plus si on filtre la moitié des polluants du fait de l'efficacité du filtre mais que cela multiplie le temps de travail par 3... on a perdu !
Donc, il faut bien garder en tête les principes de prévention écrits dans le code du travail :
    – « combattre les risques à la source » ;
    – « adapter le travail à l'homme en particulier lors de la conception des postes de travail, du choix des équipements de travail, des méthodes de travail et de production afin de limiter le travail monotone et cadencé au regard de leurs effets sur la santé » ;
    – « tenir compte de l'état d'évolution de la technique » ;
    – « remplacer ce qui est dangereux par ce qui n'est pas dangereux ou par ce qui est moins dangereux » ;
    – « prendre les mesures de protection collective en leur donnant la priorité sur les mesures de protection individuelle » ;
    – « donner les instructions appropriées aux travailleurs ».
Toujours le collectif avec l'EPI : donc aspiration et évacuation des polluants avant de mettre un masque. L'EPI ne doit pas être la seule solution, même si cela semble la plus facile à première vue.
L'EPI occasionne toujours une gêne. Par contre certaines protections auditives filtrent peu les fréquences vocales, ce qui permet d'entendre si quelqu'un appelle mais diminue de façon significative le niveau sonore total.

Le masque présenté est aussi beaucoup employé par ceux qui font du désamiantage : il apporte une grande efficacité dans la filtration des poussières, mais pas forcément des polluants chimiques présents dans les fumées... Son autre avantage est d'aller chercher l'air derrière le travailleur, donc normalement plus loin de la source de pollution.
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Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede jeromeL » Sam 24 Juil 2010 10:14

Salut,

Pour les protections auditives, j'utilise des bouchons d'oreilles moulés. Il existe quelques marques. J'ai pris le nom de la marque que je connaissais par mon travail du temps ou j'étais acousticien (Protac) et je suis allé sur leur site internet (c'était en 2004).
Ca m'a donné le nom d'un audioprothésiste local qui travaillait avec eux. Je suis allé me faire faire un moulage pour les oreilles droite et gauche. 15 jours après, j'avais mes bouchons d'oreille. A l'époque, j'avais choisi le modèle qui atténue de 25 dB à toutes les fréquences (modèle "pianissimo", je fais de la batterie), mais ils font aussi des modèles adaptés aux bruits de l'industrie (courbe d'atténuation différente). Aujourd'hui, je continue de porter ces bouchons d'oreille 8h par jour, dans des environnement de meulage, en atelier et sur chantiers. Je crois que la préconisation, c'est de changer ces bouchons tous les 5 ans parce que la forme de l'oreille évolue, mais pour moi, ils fonctionnent encore très bien.
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Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede phi64 » Dim 25 Juil 2010 10:40

Bonjour à tous, je me permet d'intervenir car je viens de travailler (en interim) dans des conditions nécessitant des protections très efficaces : la réfection d'une barge 33m par 12m sur 2m de hauteur de 1944. Il a fallu faire des rustines en plafond de la coque, changer des longerons, des renforts. : c'est une barge qui accueille une grue pour le dragage des voies fluviales.

En premier lieu, je travaille toujours avec des gants en cuir simple, je fais du 10 mais je les prends en 9... En 15 mn, ils sont détendus et je peux même me payer le luxe de visser un écrou de 6 avec les gants.

Le travail s'est fait en confinement, avec découpe au chalumeau, à la disqueuse, soudures à l'arc, meulage, éclairage hallogène dans des espaces qui pouvaient être de 6m3, pour les plus petits. Je suis porteur de verres correcteurs et pour l'instant, je n'ai pas encore trouvé de protection des yeux qui m'évite la buée... même avec un masque protégeant tout le visage.

Pour les voies respiratoires, je pense aussi que les masques à cartouches sont les seuls qui soient efficaces, même si au bout de 20 mm, dans ces conditions de travail (alerte canicule dans une forme de radoub, dans une coque acier en plein soleil), on peut avoir l'impression de se noyer dans sa sueur...
Il s'est avéré que le seul moyen efficace restait l'évacuation de l'air par un extracteur. Mais cela rajoute du bruit... et là avec tout ce que l'on peut avoir déjà sur la tête, il ne reste que les bouchons d'oreille, moulés ou non.

Le soudeurs galva utilisent des cagoules avec apport d'air : c'est bien mais la ventilation est "bruyante" et cela nécessite l'habitude de la cagoule pour écouter sa soudure, je pense que c'est la même chose quand on frappe. Que ce soit des bouchons ou autres, le fait de travailler avec un filtre demande l'habitude de travailler avec pour écouter son geste.

Cordialement, Phi.
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Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede sylvestre » Dim 25 Juil 2010 17:43

Je crois que l'on a oublié ceci : il est interdit de porter des verres de contact pour la soudure à l'arc : risque de collage à la rétine en cas de coup d'arc.
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Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede bpc » Dim 25 Juil 2010 19:48

Comme pas mal d'artisans et d'ouvriers, je suis assez désabusé sur la question de la sécurité. Dans ce genre de travail, c'est difficile de ne pas faire le deuil de sa longévité et de sa santé.

De plus, un haut degré de sécurité est difficilement compatible avec les réalités du travail, en terme d'accessibilité aux parties actives des machines, coût, ralentissement des opérations, ...

Ceci dit les recommandations basiques sont vraiment le reflet des accidents courants des ateliers, et pour donner quelques exemples vécus par moi ou des connaissances, qui auraient été facilement évités en suivant les dites recommandations :
- l'ongle d'un pouce arraché car le support des piéces est mal fixé devant la meule.
- main happée par la meule à eau car trop de jeu entre la meule et le carter (2mm de jeu recommandé par les normes)
- doigts tordus car pris entre la poulie et la courroie (pas de carter)
- cheveux arrachés par le mandrin de la perceuse (pas d'écran)
- goutellettes de fer en fusion profondément enfoncée dans le coup de pied (botte lacée sans guêtres pas le soudage, pas de chaussures à velcro)
- + toutes sortes de brûlures et blessures liées à la nature du boulot, de la manutention, etc...

PRESQUE TOUS MES ACCIDENTS AURAIENT PU ETRE EVITES EN RESPECTANT LES REGLES DE BASES DE SECURITE DANS L'INDUSTRIE !

C'est aussi vrai des autres accidents dont j'ai eu connaissance :

- front traversé par éclat de meule (carter de la meuleuse enlevé),
- meule de touret éclatée par approche brutale de la pièce contre la meule,
- émouleur projeté contre le mur par éclatement de meule (pas de carter sérieux),
- bris d'un axe de 50mm sur une meule de 550mm de diamètre (axe trop vieux),
- bras arraché par courroie (pas de carter),
- gorge traversée par un guidon de vélo pendant le polissage (polissage trop brutal).

Franchement, le rappel des règles de prudence n'est pas du radotage, c'est vraiment le quotidien des ateliers.
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Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede kurillos » Dim 25 Juil 2010 22:16

Bonjour à vous,

J'ai quelques éléments pour vous :
- Tous d'abord en ce qui concerne les lentilles de contact en soudage, il n' y a aucune interdiction qui prévaut. Des soudeurs TiG peuvent tout à fait souder avec. Les lentilles sont évitées par les soudeurs eux-mêmes s'ils estiment prendre trop de risques : travaux salissants, travaux en hauteur et avec un fort vent, atmosphères très poussiéreuses (sablage, farines, pollens).

Mais ce sont surtout les travaux créant des fumées de soudage qui rendent les lentilles impopulaires auprès des soudeurs : électrodes enrobées, procédé MaG en court-circuit ou pulvérisation axiale), gougeage arcair, coupage au plasma.
J'avais lu dans la littérature spécialisée que la cause de l'inconfort est l'inflammation de la cornée ; phénomène directement imputable aux poussières.

Quand au risque de coller les lentilles de contact sur la cornée, c'est plus une peur qu'un fait ou un risque avéré. Pour que la lentille "colle", il faut qu'elle chauffe au point de fondre (le polyméthacrylate de méthyle, abrégé en PMMA) fond entre 130 et 140 °C ! ; ou que la muqueuse "coagule". Cela est faisable avec des températures très élevées (et donc des énergies considérables), analogue à un œuf cuisiné à la poêle. Pour rester dans le contexte de la soudure, à moins de se prendre une buse de chalumeau chauffeur en pleine tête, nul risque d'en arriver là.

Un coup d'arc, c'est une lumière visible intense, une forte émission d'infrarouges et surtout d'ultraviolets. Si les infrarouges sont absorbés par la cornée et très peu par la lentille ; les UV sont transparents pour cet organe comme pour les lentilles d'ailleurs. Un coup d'arc étant très désagréable, on ne prolonge pas très longtemps cet incident (entre 1 secondes et 5 secondes au pire, pour les cas particuliers).
La durée d'un coup d'arc n'est pas suffisante pour se brûler à ce point-là les yeux, même avec un poste Innershield à 400 Ampères. C'est sûr, on ne retravaille pas tout de suite, tant l'éblouissement est intense. Généralement, une à deux journées de repos suffisent pour ces cas là (je parle de 400 A), et dans ce cas, il faut considérer cet accident comme une urgence ophtalmique : ce n'est pas la cornée qui est atteinte, mais bien la rétine et le cristallin !

Ce qui est obligatoire en soudage, c'est une gâchette pour la commande électrique d'un poste Arcair (on peut y coller 500 à 600 Ampères et des crayons de graphite en diamètre 12 !) et un masque de soudure doté d'un écran adapté au rayonnement. On n'emploie pas un verre Protane-13 pour souder à 60 Ampères (on ne verra rien de la soudure) ; tout comme on ne prend jamais de lunettes de protection pour chalumeau oxyacétylénique (qui ne protège que contre les infrarouges) pour couper au plasma (qui lui génère des UV puissants) !

En Belgique, une directive impose à tout matériel de soudage de ne pas dépasser une tension de sûreté de l'ordre de 15 Volts.
Le mien sort une tension à vide (pour les électrodes enrobées) ; si je fais en sorte d'établir l'arc au travers de moi, je peux être tué en moins d'un minute : 70 Volts DC ou AC peuvent aisément passer au travers du corps, le poste "amorçe" l'électrode enrobée et envoie le courant. On se tue avec moins d'une ampère. Le mien en sort 220 au maximum.
Le système belge est bien fait : l'appareil sort 14 à 15 Volts. Quand on applique l'électrode enrobée sur la pièce, on crée un court-circuit, la résistance chute : elle passe de plusieurs milliers de mégohms (l'électrode est "dans l'air") à presque zéro : l'électrode est en contact avec la pièce. Le poste envoie alors une forte tension (de l'ordre de 70 Volts) et l'arc démarre puisque les ampères transitent dans l'arc de soudure. Si ce poste sécurisé "touche" son soudeur, la résistance du corps varie de 3500 à 7500 Ohms. Le poste détecte que la résistance est trop élevée et rien ne se fait.

Vous me direz : "Oui, il faut vraiment être neu² (lire neuneu) pour se faire juter par son poste". Eh bien non : voilà un cas vécu par un ami, retraité soudeur :
Il était sur une toiture métallique en plein cagnard et soudait des poutrelles en hauteur à partir d'une coursive. Il était trempé de sueur et était vêtu d'une combinaison de coton. Comme le dit très bien Phi64, on est "noyé dans sa sueur" dans ces cas là. Il a fini de griller son électrode enrobée, et a dévissé son porte-électrode. Et là, assis sur sa coursive métallique, "le cul trempé", en remettant une électrode neuve, un de ses doigts derrière un gant de soudeur mouillé de sueur est venu en contact avec l'extrémité graphitée de l'électrode, le poste a envoyé la sauce... dans le corps de mon ami. Celui-ci s'est débattu sous l'arc électrique pour essayer de défaire l'électrode enrobée de son doigt mais ce n'était pas possible. Le porte électrode à vis ne voulait pas non plus libérer l'électrode ; à force de crier ses collègues se sont rendus compte du problème et ont coupé le poste qui était en contrebas. Il resté une bonne minute à se prendre le courant de soudage (de l'alternatif à 50 Hertz, souder à l'électrode enrobée en courant continu était un luxe à l'époque).
Il ne pouvait plus tenir debout et a dû être hospitalisé. Depuis, il a des problèmes sur la valve mitrale et doit surveiller son cœur.

Je dois lancer une consultation à la SAF (groupe Air Liquide) sous peu pour adapter un module additionnel sur mon poste. Ce système est appelé VRD : Voltage Reduction Device. Plus d'infos sur ce lien.

- Une autre chose, pour faire avancer le débat : Cela concerne les masques électrochromes à ventilation intégrée.
Le système est fait pour assurer une surpression dans le masque du soudeur, qui doit avoir une forme ergonomique tout en permettant à l'air non pollué de s'écouler au dehors, sans faire en sorte que le soudeur puisse respirer de l'air vicié.
Pour permettre cela, il existe des masques à ventilation autonomes, filtrant l'air sur place avec une batterie rechargeable.
L'autre alternative, beaucoup plus pratique, est de brancher la coiffe avec une arrivée d'air légèrement comprimé, refroidi pour les travaux d'été et réchauffé pour les périodes froides, asséché (pour éviter la formation du buée pour les porteurs de lunettes), déshuilé pour ne pas s'intoxiquer avec un brouillard d'huile minérale ou de synthèse...

150 litres par minutes sont quand même nécessaire. Une bouteille B52 RESPAL de 10.6 m3 est ainsi épuisée en 70 minutes !
On utilise soit des bouteilles d'air respirable comprimé à 200 bars, soit un compresseur performant (du genre à éléments Scroll).

Bien à vous, et à défaut d'attendre que vos employeurs vous donnent des protections adéquates, achetez-en vous mêmes. Pas toujours évident, mais la santé n'a pas de prix.
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Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede jimi » Lun 26 Juil 2010 17:37

Pour compléter le sujet, voici un lien édifiant sur les dangers des roues de polissage et brosses de nettoyage : sujet numéro 66 "safety".
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Re: La sécurité dans une ferronnerie : forger sans risque

Messagede polsk » Ven 20 Aoû 2010 13:36

Pour en revenir au masques de protection en papier, je travail en ce moment dans un hôpital comme job d'été et j'ai récupéré une boite de masque que les infirmières utilisent pour rentrer dans les chambres des patients tuberculeux, je me suis dit qu'un masque assez fin pour bloquer des microbes doit forcement bloquer les poussières et autre sa****rie qui traine dans l'atelier non ?
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